Ecologie, économie, société, humanité. Notre planète est exsangue, nos sociétés peu exemplaires, mais nous pouvons changer les choses. Acte 1 : S'informer, informer, éduquer, agir.
Le tsunami dévastateur puis l'accident nucléaire de Fukushima ont laissé des traces. Si le Japon s'est partiellement reconstruit, des villes désertes cohabitent encore avec des espaces rénovés.
Le 11 mars 2011, le Japon connaît le plus terrible drame de son histoire depuis la seconde guerre mondiale. Une triple catastrophe frappe le pays : un séisme de magnitude 9 entraîne un tsunami, qui cause un accident nucléaire à la centrale de Fukushima. Cinq ans après, la reconstruction avance dans les régions dévastées par le tsunami de mars 2011. Mais des villes désertées et des herbes envahissantes cohabitent avec des rues déblayées et entretenues. Grâce à Google Street View et l'Agence France Presse, francetv info vous propose de découvrir cette évolution en images.
"L’IRSN publie aujourd’hui un dossier d’information sur la situation au Japon, quatre ans après l'accident du 11 mars 2011 à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi.
Concernant la centrale de Fukushima Daiichi, l’IRSN fait le point sur les actions mises en œuvre pour contrôler les installations, maîtriser les rejets radioactifs ainsi que gérer et traiter les eaux chargées en éléments radioactifs..."
"40 ONG critiquent le rapport de l'UNSCEAR sur Fukushima
De nombreuses ONG dénoncent régulièrement les rapports de l'UNSCEAR. Pour des ONG, ces rapports manquent d'objectivité. C'est encore le cas aujourd'hui à propos de Fukushima..."
"(Naraha, Japon) Dans le no man's land radioactif autour des ruines de la centrale nucléaire de Fukushima, au Japon, on ne trouve que des villes fantômes, toujours évacuées trois ans et demi après le séisme et le tsunami meurtriers de mars 2011. La vie est suspendue pour plus de 100 000 habitants de la région, entassés dans de déprimants centres d'hébergement temporaires dans les villes avoisinantes. Notre journaliste a rencontré ces réfugiés nucléaires..."
"Universitaire et professeur de français à l'université de Tokyo, Akira Mizubayashi dénonce dans son "Petit éloge de l'errance" (Folio/Gallimard) l'irresponsabilité du gouvernement japonais face à la catastrophe de Fukushima, entre souvenirs personnels et évocations artistiques. (...)"
A lire : Petit éloge de l'errance, d'Akira Mizubayashi, éditions Folio 2 euros, Gallimard.
The number of young people in Fukushima Prefecture who have been diagnosed with definitive or suspected thyroid gland cancer, a disease often caused by radiation exposure, now totals 104, according to prefectural officials.
"La société japonaise Tepco, qui gère la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, a annoncé qu'un des robots envoyés dans le réacteur n°1, détruit après le tsunami et le séisme du 11 mars 2011, a permis d'identifier la source d'une fuite d'eau radioactive.
Le robot, envoyé pendant trois jours, du 27 au 30 mai, pour une mission d'exploration dans ce bâtiment aux radiations si élevées qu'elles sont mortelles pour l'homme, a notamment permis de découvrir de l'eau s'échappant d'une vanne. La fuite est estimée à entre 0,75 et 1,5 tonne d'eau par heure. (...)"
"Parler de Fukushima trois ans après cette chaîne de catastrophes, parler de commémoration, parler d’anniversaire, parler de souvenir. C’est le choix que beaucoup font aujourd’hui. Mais à la centrale nucléaire de Fukushima, nous ne sommes pas après la catastrophe. On est en plein dedans..."
Pendant les trois années longues et effrayantes depuis la triple fusion des réacteurs à Fukushima Daiichi, le monde a de moins en moins entendu parler de cet...
"Alors que la catastrophe nucléaire est toujours en cours, Jean-François Julliard est en ce moment à Fukushima au Japon. Invité par le bureau de Greenpeace sur place, il rencontre des habitants, et des agriculteurs de la zone sinistrée de la centrale..."
"L'Association World Network For Saving Children From Radiation vient de publier les résultats des derniers tests effectués par les autorités sanitaires japonaises sur 254.000 enfants de la région de Fukushima..."
Près de la centrale N°1 de Fukushima, dans un échantillon de 37 dorades, un poisson a été retrouvé avec un niveau extrêmement élevé de radioactivité..."
Le 11 mars 2015 marque un terrible « anniversaire » : il y a quatre ans, un séisme et un tsunami dévastateurs frappaient le Japon, et une catastrophe nucléaire majeure débutait avec la fusion de trois réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, exploitée par Tepco.
Une deuxième phase d'examen a été menée auprès des mineurs de la région. Débutée en 2014, elle permet de réellement mesurer les cas apparus avec certitude après l'accident nucléaire.
A2-B-C est un film documentaire du réalisateur américain Ian Thomas Ash, résidant au Japon, et qui a suivi les enfants de Fukushima après l'accident de la centrale nucléaire.
"Epidemiology professor, Ohira from Fukushima medical university stated variety of diseases are increasing in the former evacuation zone of Fukushima.
It’s 13 municipal areas. Prof. Ohira stated in the symposium held on 10/4/2014 that liver dysfunction and hypertension and other diseases are increasing among the local residents..."
"Les réacteurs de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima sont une menace éternelle pour l'humanité. Ils sont si dangereux que toutes les personnes qui travaillent au sein de la centrale sont embauchés par la mafia japonaise, raconte le Prix Nobel de la Paix de 1985.
Selon Helen Caldicott, médecin et activiste antinucléaire, les trois cœurs de réacteurs qui ont fondu à la centrale de Fukushima, chaque réacteur pesant 100 tonnes, sont si radioactifs que personne ne peut les approcher (...)"
"La catastrophe nucléaire survenue à la centrale de Fukushima Daiichi au Japon le 11 mars 2011 ne fait plus vraiment recette dans les médias. Cependant sur place cet événement est loin de faire partie du passé. En ce mois d’août 2014, l’ONG Greenpeace dans un communiqué intitulé « À Fukushima, le pire reste à venir » revient sur la situation du site et sur la stratégie de la société TEPCO en charge de l’exploitation de la centrale (....)"
"Il suffit de quelques bulles pour réveiller la catastrophe de Fukushima: un manga très populaire au Japon, dont le dernier épisode a été publié ce lundi, a déclenché une vive polémique simplement à cause de dialogues évoquant «des saignements de nez inexpliqués» des habitants de Fukushima. Son auteur, Tetsu Kariya, a également fait dire à un personnage de Oishinbo: «On ne peut plus habiter à Fukushima», ce qui a déclenché un tollé sur Internet et fait réagir jusqu’au gouvernement japonais...."
"Le 11 mars 2011, un séisme suivi d'un tsunami d'une rare intensité dévastaient le site nucléaire de Fukushima-Daiichi. Trois après, où en est-on ? Quels dangers présente la centrale ?"
"19000 sur 30000 intervenants après la catastrophe à la centrale nucléaire de Fukushima-1 ont subi des examens médicaux au Japon. Les bilans sont inquiétants..."
"Ces dernières semaines, plusieurs reportages sur l’évacuation des eaux radioactives de la centrale de Fukushima vers l’océan Pacifique ont largement circulé, suscitant intérêts et inquiétudes. La question qui sous-tend cet intérêt est simple à comprendre : y a-t-il un risque de contamination de l’océan et, au-delà, des écosystèmes du monde entier ? "
"Nous allons essayer d'imaginer les retombées écologiques, sanitaires et sociales en France si nous avions une catastrophe nucléaire de l'ampleur de Tchernobyl ou de Fukushima..."
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